Conférences de métrique latine humaniste

Dans le cadre du séminaire de Thélème (E.A. Cérilac), Jean-Louis Charlet, ancien président de l’International Association for Neo-Latin Studies et professeur émérite à l’université d’Aix-Marseille, assurera un cycle de conférences sur la métrique latine humaniste le jeudi de 14 à 17h. Ces conférences, destinées d’abord à des non-spécialistes, commenceront par rappeler les bases classiques (on ne peut pas comprendre la métrique néo-latine sans connaître ses modèles classiques, latins et parfois même grecs) et étudieront les vers latins humanistes (de Pétrarque au XVIe s. avec quelques incursions au-delà) d’un triple point de vue : métrique, stylistique et ethos des mètres (dans quelle mesure un mètre est associé à un genre littéraire, à une thématique, à un ton particulier…). On commencera par les mètres les mieux connus (ou les moins inconnus !) pour avancer progressivement vers les mètres plus complexes.

La première séance aura lieu le jeudi 8 décembre 2016 ; elle portera sur l’hexamètre dactylique (avec en prime un hexamètre nahuatl inséré dans un poème didactique hexamétrique néo-latin !).

Le programme des conférences suivantes (en principe, une tous les deux mois) sera établi avec les participants en fonction de leurs desiderata, étant entendu que l’objectif sera, éventuellement sur plusieurs années, de traiter de tous les mètres latins employés par les humanistes, y compris les mètres dramatiques (tragédie, comédie) et lyriques (horatiens ou non), jusqu’au galliambe ! À chaque séance, une bibliographie de base sera donnée.

Première séance : jeudi 8 décembre de 14h00 à 17h00, salle 791 au bâtiment C des Grands Moulins (Métro : Bibliothèque François Mitterand, sortie : Rue Goscinny).

Thèses en cours au 1er octobre 2015

Thèses de doctorat en cours au 1er octobre 2015 

Jean-Jacques Allain, Traduction et commentaire du livre I du De occulta philosophia d’Agrippa de Nettesheim, dir. J.-L. Charlet, U. d’Aix-Marseille.

Clément Auger, Renaissance d’un genre : la satire du modèle latin aux pratiques vulgaires (Italie et France, XVe et XVIe siècles), dir. M. Bouquet, U. Rennes 2, en cotutelle avec M. Squillante, U. de Naples Federico II.

Ángela Beatriz Ávalos, Subjectivité et personnalité dans la philosophie de Pierre Abélard, dir. C. Grellard, Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Henri Babaud de Monvallier, Le Christ chez maître Eckhart : christologie et expérience christique, dir. A. de Libera, Collège de France.

Fabien Barrière, Le sourire de Thalie : formes et signification du rire dans l’univers pastoral de la Renaissance à l’âge baroque, dir. H. Casanova-Robin, U. Paris-Sorbonne, en codirection avec D. Denis.

Anne-Clotilde Bossenec, Traduction et commentaire du Commentarius in Librum Ecclesiastae de Saint Bonaventure, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

Le Commentaire sur l’Ecclésiaste de saint Bonaventure se révèle être une œuvre importante dans la compréhension de la réflexion qui porte au XIII° siècle sur l’articulation entre philosophie et théologie. En effet, alors que le Commentaire reçoit une forme, la lectio, et s’apparente par sa méthode à la disputatio et à la praedicatio – toutes caractéristiques de la période scolastique –, il met en évidence l’apport de la philosophie à l’exégèse d’une part : l’importance du nombre des 89 questions au sein du Commentaire et le recours à la philosophie aristotélicienne et à la philosophie platonicienne permettent à saint Bonaventure en premier lieu de décrire et comprendre le monde, et en particulier sa mutabilité. Mais c’est aussi de la mutabilité des choses dans l’esprit de l’être humain qu’il s’agit. Quant à l’éthique, la philosophie donne des outils pour étudier la vertu. Enfin, la philosophie platonicienne fonde la distinction entre monde sensible et monde intelligible. Il met en évidence l’apport de l’exégèse à la philosophie d’autre part. Dans l’histoire de la curiosité comme concupiscence des yeux qui fait intervenir les notions centrales uti et frui. Dans l’histoire de l’anthropologie, en donnant une place très particulière à l’homme, comme union d’un corps mortel et d’une âme immortelle. Dans l’histoire de la notion d’ordre, que ce soit l’ordre de la sagesse régi par le nombre ou l’ordre de la bonté régi par le poids. Dans l’histoire de la connaissance de soi, quand l’âme se connaît comme miroir du monde et de Dieu. Toutes ces caractéristiques comptent parmi celles qui ont consacré comme un chef-d’œuvre le Commentaire de saint Bonaventure.

Blandine Boulanger, Politique et poétique dans les Miscellanea de Pietro Crinito (1474/6-1507), dir. Galand, EPHE, en cotutelle avec D. Coppini, U. de Florence.

Aude Buffenoir, Édition critique de la Theologia naturalis de Nicolas Bonet (+1343). Histoire et enjeux de la théologie naturelle en sa première figure, dir. P. Bourgain, École nationale des Chartes.

Ghislain Casas, Angélologie cosmique et angélologie politique de l’antiquité tardive au Moyen Âge, dir. P. Hoffmann, EPHE, et S. Piron, EHESS.

La modernité se caractérise par un partage clair entre politique et cosmologie. Ce travail cherche à montrer comment l’angélologie médiévale constitue le champ discursif dans lequel les significations, les valeurs et les énoncés de la politique et de la cosmologie ont été redistribués et recomposés pour aboutir à ce partage. C’est au croisement de deux problèmes théologiques, celui de la motion angélique des cieux et celui de la hiérarchie angélique, que s’opère la déliaison entre la question de l’ordre du monde et celle de son gouvernement. Alors que l’idée d’un gouvernement du monde (gubernatio mundi) régit la cosmologie ancienne et maintient une forme de continuité entre l’exercice du pouvoir et la connaissance du monde, la modernité donne à l’activité gouvernementale un objet propre (l’État) et à la connaissance scientifique un domaine nouveau (la nature et ses lois). Le passage de l’ancienne image du monde au partage moderne entre politique et cosmologie est l’effet de l’ensemble des transferts et remaniements conceptuels et discursifs opérés par l’angélologie médiévale. Le concept de hiérarchie (hierarchia) joue un rôle crucial dans cette transformation. En effet, c’est lui qui traduit la métaphysique néoplatonicienne de l’ordre en une théorie politique du gouvernement. Ce travail tente de montrer que la signification historique du concept de hiérarchie est d’avoir désarticulé la politique et la cosmologie, le monde et la cité.

Grégoire Celier, Saint Thomas et la question de l’éternité du monde, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

La question d’un monde créé sans commencement ou, comme on le dit souvent, le problème de « l’éternité du monde », a été l’occasion d’une vive controverse entre les penseurs latins du XIIIe siècle, dont saint Thomas d’Aquin. Nonobstant sa foi avérée en une création avec un commencement, Thomas, théologien et philosophe catholique, s’est interrogé tout au long de sa carrière : « Aurait-il été possible que Dieu créât un monde sans commencement ? » Cette persévérance est suffisamment paradoxale pour attirer l’attention, d’autant que Thomas, en sa réponse, s’opposait à la grande majorité de ses contemporains.Après une courte partie introductive qui brosse à grands traits et sans prétention le contexte historique, sont donc présentés les onze textes thomasiens traitant de la durée du monde, et spécialement de la possibilité d’un monde créé sans commencement, en leur langue latine ainsi qu’en une traduction française originale. Puis sont analysés les arguments présentés par Thomas, et les questions qu’ils peuvent soulever. Si les rapports entre la philosophie et la foi, comme entre la philosophie et la science, entrent en ligne de compte, les notions de causalité naturelle et de causalité volontaire, de fini et d’infini, de création divine et d’action humaine, de temps et d’éternité, de démonstration rationnelle et d’argument de convenance, constituent le cœur de cette élucidation philosophique.Au terme de la démarche, il apparaît que, pour saint Thomas d’Aquin, si le monde, en fait, a été créé avec un commencement (c’est pour lui une certitude de foi), en droit il aurait pu être créé sans aucun commencement (et c’est pour lui une affirmation légitime de la raison).

Pierre Chambert-Protat, Florus de Lyon, lecteur des Pères. Documentation et travaux patristiques dans l’Église de Lyon au neuvième siècle, dir. A.-M. Turcan-Verkerk, EPHE, et P. Mattei, U. Lyon 2.

On conserve un nombre inhabituellement élevé de manuscrits ayant appartenu à la bibliothèque du chapitre cathédral de Lyon au IXe siècle, dont bon nombre ont été personnellement utilisés ou produits par le principal acteur de la vie intellectuelle lyonnaise de l’époque, le diacre Florus (floruit v. 825–855). Comme on connaît par ailleurs plusieurs grandes compilations rassemblées également par lui, Florus représente pour nous une double occasion particulièrement rare d’étudier la bibliothèque d’une école cathédrale carolingienne et les méthodes de travail d’un intellectuel de ce temps. Les comparaisons et les nombreux recoupements que permet cette situation étayent et alimentent notre connaissance des livres qu’on utilisait et qui circulaient à l’époque, mais aussi des hommes qui les lisaient et les échangeaient, et des conditions dans lesquelles le travail de Florus a pu passer dans la tradition manuscrite des Pères (première partie). Ces analyses nous peignent Florus un homme de son temps, formé dans un certain milieu à de certaines méthodes, mais que son expérience et ses goûts poussèrent à faire évoluer, tout au long de sa carrière, ses propres méthodes au service de ses propres projets (seconde partie). Un travail d’historiographie est aussi proposé, qui n’avait pas encore été entrepris, et qui fait apparaître les voies de la redécouverte de Florus au cours du XVIIe siècle, puis au XXe. La place de Florus et de sa bibliothèque d’usage, dans l’histoire intellectuelle et dans l’histoire de la transmission des textes antiques, en ressort mieux circonscrite et qualifiée plus précisément, en même temps que se dévoile le cours de sa propre évolution intellectuelle.

Claire Chauvin, Le Buccolicum carmen de Giovanni Boccaccio : présentation, traduction, notes et commentaire, dir. P. Maréchaux, U. de Nantes.

Barbara Constant-Desportes, Autour de l’Angelinetum et des Carmina varia de Giovanni Marrasio : étude sur la poésie néo-latine du premier humanisme et le renouvellement du genre élégiaque, dir. H. Casanova- Robin, U. Paris-Sorbonne.

Angela Cossu, Les florilèges prosodiques et la transmission des poètes latins au Moyen Âge, dir. A.-M. Turcan-Verkerk, EPHE, et Ernesto Stagni, U. de Pise.

Élodie Cuissard, L’établissement du texte de Tacite au XVIe siècle : Beatus Rhenanus, les Annales et le codex Budensis (manuscrit de Yale), dir. J. Hirstein, U. de Strasbourg.

Laure-Aline Cuvelier, Édition critique, traduction et commentaire du livre V (selon les ms.) du Speculum doctrinale de Vincent de Beauvais, codirection J.-F. Chevalier, U. de Lorraine, et I. Draelants, IRHT.

François Delmas-Goyon, La traduction théologique et philosophique de la pensée et des intuitions spirituelles de François d’Assise par Bonaventure de Bagnoregio et Pierre de Jean Olivi, dir. O. Boulnois, EPHE.

Paule Desmoulières, Anthologies funèbres en Italie, en France et en Angleterre (1590-1640), codirection Casanova-Robin et V. Gély, U. Paris-Sorbonne.

Dorota Dremierre, Découverte et reconstruction érudite du deuil antique par les humanistes du Trecento et du Quattrocento, dir. P. Galand, EPHE.

Salomon Dumotier, La mise en forme littéraire du dialogue intérieur dans les littératures du Moyen Age en langue française et médiolatine, dir. D. James-Raoul, Université Bordeaux Montaigne.

Frédéric Duplessis, Réseaux intellectuels entre France et Italie (IXe-Xe s.) : autour des Gesta Berengarii imperatoris et de leurs gloses. Édition critique, traduction, commentaire du panégyrique de Bérenger Ier et des annotations du manuscrit Venezia, Biblioteca Nazionale Marciana, lat. XII 45, dir. A.-M. Turcan- Verkerk, EPHE. Soutenance le 12 septembre 2015.

Charles Ehret, De l’unité des causes chez Thomas d’Aquin, dir. J.-B. Brenet, U. Paris 1 Panthéon- Sorbonne.

Nicolas Faucher, La garantie de la certitude dans l’école franciscaine : évolutions, intérêts, perspectives, dir. O. Boulnois, EPHE, et P. Porro, U. de Bari.

Andrea Fiamma, Nicolas de Cues à Cologne. La théorie de l’intellect chez Nicolas de Cues par rapport à ses possibles sources albertines, dir. E. Peroli, U. Gabriele D’Annunzio de Chieti-Pescara, et M.-A. Vannier, U. de Lorraine.

Christian Förstel, Marsile Ficin et les Ennéades : la genèse de la traduction et du commentaire de Plotin, dir. Hoffmann, EPHE.

Nathalie Gareddu-Delphini, Giuseppe Ottaviano Nobili Savelli poète épique dans le Vir nemoris. Étude métrique, dir. J.-L. Charlet, U. d’Aix-Marseille.

Lika Gordeziani, La tradition mythologique dans les Adages d’Érasme, dir. J.-F. Cottier, Université Paris-Diderot.

Adrienne Hamy, Les homélies mariales de Juan Gil de Zamora : édition critique, commentaire philologique et historique, codirection J.-F. Cottier, Université Paris-Diderot, et P. Henriet, EPHE.

Ana Irimescu, La question de l’intuition chez Jean Duns Scot, dir. O. Boulnois, EPHE.

Anne-Sophie Jouanneau, Le désir chez l’Avicenne latin, dir. J.-B. Brenet, U. Paris 1 Panthéon- Sorbonne.

Claire Laimé-Couturier, Les débuts poétiques d’un futur poéticien à la cour de Ferrare : édition, traduction et commentaire des Carmina de l’humaniste Giovanni Battista Pigna (1553), dir. P. Galand, EPHE, en cotutelle avec D. Coppini, U. de Florence.

Anna Le Touze, La paraphrase de l’Art poétique d’Horace par Francesco Robortello : édition, traduction, commentaire, dir. M. Bouquet, U. Rennes 2, en cotutelle avec M. Squillante, U. de Naples Federico II.

Marie-Eugénie Lecouffe, Les Nuits Attiques d’Aulu-Gelle, un modèle de poétique rhétorique, dir. Galand, EPHE.

Stéphane Lecouteux, Réseaux de confraternité et histoire des bibliothèques. L’exemple de l’abbaye bénédictine de la Trinité de Fécamp, dir. C. Jacquemard, U. de Caen, et A.-M. Turcan-Verkerk, EPHE. Soutenance le 23 novembre 2015.

Adeline Levilion, La connaissance des substances chez Duns Scot, dir. O. Boulnois, EPHE.

Stéphane Loiseau, L’usage de la raison naturelle dans les commentaires de Jean de Thomas d’Aquin et de Maître Eckhart, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

Iryna Lystopad, La logique et la théologie dans la métaphysique trinitaire du XIIe siècle, dir. D. Poirel, IRHT, et A. Vasylchenko, EPHE.

Steve Mai Van Bartolen, Étude sur le Second Commentaire au Peri Hermeneias de Boèce, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

Hélène Malard, Melior angelis. Nature et formes de la médiation chez Jean Pic de La Mirandole (1463- 1494), dir. O. Boulnois, EPHE.

Julien Maudoux, La vieille femme dans la littérature du Moyen Âge, dir. D. James-Raoul, Université Bordeaux Montaigne, en codirection avec G. Puccini.

Anna-Lisa Morand, Édition critique, traduction et commentaire des Romana de Jordanès, dir. C. Bertrand- Dagenbach, U. de Lorraine.

Yannick Mosset, Les discours du possible dans le roman en vers (XIIe-XIIIe siècles) : éléments de stylistique, dir. D. James-Raoul, Université Bordeaux Montaigne.

Fernanda Ocampo, L’ontologie de Dietrich de Freiberg, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne, en cotutelle avec l’UNCuyo (Mendoza, Argentine).

Léonie Ollagnier, Les Juvenilia de Théodore de Bèze : édition commentée, dir. S. Laigneau-Fontaine, U. de Bourgogne.

Guillaume Oriol, Dire les émotions. Étude de rhétorique dans la lyrique médiévale occitane, dir. D. James- Raoul, Université Bordeaux Montaigne.

Giovanna Pantiglioni (Bagnasco), Per l’edizione del Centheologicon di Eimerico di Campo, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne, et C. Casagrande, U. de Pavie.

Eva Pauerova, Les tragédies de Sénèque et leur influence sur le théâtre jésuite de la province tchèque aux XVIIet XVIIIe siècles, dir. P. Galand, EPHE, en cotutelle avec F. Kuíáková, U. de Prague.

Ota Pavlicek, La dimension philosophique et théologique de la pensée de maître Jérôme de Prague, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne, et V. Herold, U. de Prague.

Thomas Penguilly, Histoire, archéologie et pensée symbolique à la Renaissance : le recueil des Inscriptions milanaises d’André Alciat, dir. F. Vuilleumier-Laurens, U. de Bretagne occidentale.

Sylvaine Poujade-Baltazard, Le commentaire à la Poétique d’Aristote de Francesco Robortello : édition du texte latin, traduction, notes et commentaire, dir. M. Bouquet, U. Rennes 2, en cotutelle avec l’U. de Naples Federico II.

Matthieu Raffray, Rôle de la notion de relation dans les Commentaires au Ier livre des Sentences de Saint Albert, Saint Bonaventure et Saint Thomas d’Aquin, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

Olivier Rimbault, L’œuvre néo-latine d’Hercule Alexicachos (Perpignan, fin XVe siècle), dir. S. Laigneau- Fontaine, U. de Bourgogne. Soutenance le 28 septembre 2015.

Philippe Robert, Les attributs divins chez Jean de Saint Thomas à Jean-Baptiste Gonet, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

Emanuele Romanini, Édition et analyse du commentaire inédit de Francesco Piendibeni de Montepulciano au Bucolicum Carmen de Pétrarque, dir. H. Casanova-Robin, U. Paris-Sorbonne, en cotutelle avec l’U. de Macerata.

Sophie Serra, Nicole Oresme, exigences scientifiques et projet politique, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

Charlotte Solignac, La pensée de la lumière comme lumière pour la pensée chez Bonaventure de Bagnoregio, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

Caterina Tarlazzi, La pensée et les œuvres de Gauthier de Mortagne (1174), dir. R. Imbach, U. Paris- Sorbonne, et R. Quinto, U. de Padoue.

Manuel Tramaux, Les bibliothèques conventuelles de Besançon et la Révolution française : démembrement, destruction, dispersion et conservation des ouvrages médiévaux, dir. A.-M. Turcan-Verkerk, EPHE.

Pascaline Turpin (Senet), Logique du sensible et prisme eucharistique, dir. R. Imbach, U. Paris- Sorbonne.

Sofia Tuttolomondo, La réception des tragiques grecs dans les œuvres latines du Quattrocento italien : l’aube d’une renaissance, dir. H. Casanova-Robin, U. Paris-Sorbonne.

José Antonio Valdivia Fuenzalida, Le problème des premiers principes chez Thomas d’Aquin, dir. R. Imbach, U. Paris-Sorbonne.

Éléonore Villalba, La réception des Odes d’Horace dans l’humanisme espagnol de langue latine au XVIe siècle, dir. H. Casanova-Robin, U. Paris-Sorbonne.

Valérie Wampfler, Roman, histoire et alchimie au XVIIe siècle : traduction et étude de la Peruviana de Claude-Barthélemy Morisot (1644), codirection N. Palmieri, U. de Reims, J.-C. Ternaux, U. d’Avignon et J.-F. Chevalier, U. de Lorraine.

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Colloques 2013

Colloques 2013

– 13-14 mars, Toulouse, Université de Toulouse II-Le Mirail, « ‘Micro récits’ de l’Antiquité et écriture de l’histoire à la Renaissance », colloque international du Laboratoire PLH-Erasme organisé par Bérangère Basset, Olivier Guerrier, Pascal Payen. Contact : Philippe Marengo (marengo@univ-tlse2.fr)

– 15 mars 2013, Université de Lille III, « La Muse s’amuse : figures insolites de la Muse à la Renaissance », seconde des deux journées d’études organisées par Perrine Galand et Anne-Pascale Pouey-Mounou.

– 22-23 mars 2013, BnF-Université de Paris 7- SFDES, L’année 1570, Colloque organisé par Jean Vignes, Isabelle His et Hugues Daussy

– 4-6 avril 2013, San Diego, California, Renaissance Society of America, annual meeting

– 7-8 avril 2013, Bordeaux, Université Michel de Montaigne, « La lettre au carrefour des genres et des traditions», colloque international co-organisé par les équipes AMERIBER EA 3656 et CLARE EA 4593, Elvezio Canonica (AMERIBER, Elvezio.Canonica-De-Rochemonteix@u-bordeaux3.fr et Cristina Panzera (CLARE, Cristina.Panzera@u-bordeaux3.fr

– 12 avril, Lyon, et 17 mai 2013, Valenciennes, « Érasme et la France », colloque co-organisé par, l’Université de Lyon II (UMR 5037) et l’Université de Valenciennes, Blandine Perona (Calhiste, blandine.perona@univ-tln.fr) et Tristan Vigliano (GRAC, tristan.vigliano@univ-lyon2.fr)

– 18-20 mai 2013, Lexington, University of Kentucky, 66th Annual Languages, Literatures, and Cultures Conference (web.as.uky.edu/kflc/)

– 22-25 mai 2013, Rome, École française de Rome et Biblioteca Nazionale Centrale di Roma, Colloque international « Marc Antoine Muret. Un humaniste français en Italie », organisé par Christine de Buzon, Philip Ford, Jean-Eudes Girot, Raphaële Mouren, Laurence Pradelle et Marina Venier

– 3-5 juin 2013, Rouen, Maison de l’Université, « Le modèle et les originaux. Imitations de Virgile à Naples entre Regno aragonais et vice-royaume espagnol », colloque international organisé par Marc Deramaix (Rouen, marc.deramaix@univ-rouen.fr), Giuseppe Germano (Federico II, Naples, germano@unina.it)

– 3-6 juin 2013, Villa Vigoni, Atelier néo-latin II. Horatius lyricus. Responsable : Nathalie Dauvois

-12-13 juillet 2013, Würzburg, 15. Neulateinisches Symposium NeoLatina « Würzburger Humanismus », organisé par Thomas Baier (thomas.baier@uni-wuerzburg.de)

-26-30 août 2013, Lyon, Université Louis Lumière-Lyon II, Université Jean Moulin-Lyon III et Ecole Normale Supérieure, « L’homme et ses passions », XVIIe Congrès international de l’Association Guillaume Budé, session de littérature française et néo-latine organisée par Laurence Boulègue (Amiens, laurence.boulegue@free.fr) et Emmanuel Naya (Lyon II, emmanuel.naya@univ-lyon2.fr)

-12-14 septembre 2013, Oxford, Magdalen College, « Theatrum Mundi: Latin Drama in Renaissance Europe », Sarah Knight (University of Leicester, sk218@le.ac.uk)
– 10-11 octobre 2013, Louvain-la-Neuve, « Epigrammes et tableaux : un dialogue entre poésie et peinture (15e – 17e siècles) », colloque organisé sous l’égide du GEMCA/Group for Early Modern Cultural Analysis (http://gemca.fltr.ucl.ac.be) dans le cadre du projet « Poésie et poétique néo-latines ». Contact : Aline Smeesters (Louvain, aline.smeesters@uclouvain.be)
– 14-15 octobre 2013, Paris, Université Paris IV-Sorbonne, « Boccace humaniste latin », colloque international organisé par Hélène Casanova-Robin (Paris IV, casanova-robin@club-internet.fr) et Franck Labrasca (Tours, labrasca@yahoo.fr)
– 8-10 novembre 2013, Münster, Université de Münster, « Boccaccio Latinus », colloque international organisé par Karl Enenkel (Münster, kenen 01@uni-muenster.de), Tobias Leuker (Münster, tleuk 01@ uni-muenster.de) et Christoph Pieper (Leiden, c.pieper@hum.leidenuniv.nl)

Colloques 2012-2013

– 15-17 mars 2012, Dijon, Colloque international «L’image de la ‘petite patrie » provinciale chez les écrivains de la Renaissance », organisée par Sylvie Laigneau-Fontaine. Contact :  HYPERLINK « mailto:sylvie.laigneau-fontaine@sfr.fr » sylvie.laigneau-fontaine@sfr.fr

– 22-24 mars 2012, Washington D.C., Meeting annuel de la Renaissance society of America

-4-5 mai 2012, Université de Neuchâtel, colloque international « Jean Du Bellay, cardinal diplomate, écrivain et mécène », organisé par L. Petris avec la collaboration de O. Christin, P. Galand et C. Michon

– 10-12 mai 2012, Colloque international : Tours 1500. Art et société à Tours au début de la Renaissance. Comité d’organisation : Florence Alazard, Pascal Brioist, Marion Boudon-Machuel, Pascale Charron, David Fiala, David Rivaud, Alain Salamagne. Contact : HYPERLINK « mailto:marion.boudon-machuel@inha.fr » marion.boudon-machuel@inha.fr et/ou HYPERLINK « mailto:pascale.charron@univ-tours.fr » pascale.charron@univ-tours.fr

– 12-13 mai 2012 – Craiova, Roumanie. La réception de l’Antiquité gréco-latine dans les cultures européennes. Sous le signe d’Hermès. Renseignements : HYPERLINK « mailto:studiiclasice.craiova@yahoo.com » studiiclasice.craiova@yahoo.com

-7-9 juin, Université de Rouen-EPHE-Paris-Sorbonne, colloque international « L’Antiquité gréco-latine aux sources de l’imaginaire contemporain : fantasy, fantastique, science-fiction », organisé par M. Bost-Fievet, D. Nouvel, S. Provini avec la coll. de P. Galand

– 7-9 juin 2012, Université de Stockholm et The Royal Swedish Academy of Letters, History and Antiquities, « Allusions and Reflections. Greek and Roman Mythology in Renaissance Europe »

– 5-7 juillet 2012, Paris, IRHT, « Le dictamen dans tous ses états. Perspectives de recherche sur la théorie et la pratique de l’ars dictaminis (XIe-XVe siècles) ». Colloque organisé par Anne-Marie Turcan-Verkerk et Benoît Grévin.

– 5-10 août 2012, Münster, 15e Congrès de l’IANLS. Contact : HYPERLINK « mailto:pade@hum.ku.dk » pade@hum.ku.dk

– 5-6 octobre 2012, Université de Montpellier 3, « L’écriture épique et ses modèles » [de l’épopée classique à la Renaissance]. Colloque organisé par Jean Meyers et Aline Estèves

– 11-13 octobre 2012, Bordeaux, Université Michel de Montaigne, Amphithéâtre Odéon, Maison de l’Archéologie, « Rhétorique, stylistique et poétique : entre théorie et pratique ». Responsables : Anne Bouscharain et Danièle James-Raoul

– 23-25 octobre 2012. Villa Vigoni. Atelier néo-latin I, Horatius criticus. Responsable : Nathalie Dauvois

– 22 novembre 2012, Paris, EPHE, « La Muse s’amuse : figures insolites de la Muse à la Renaissance », Première des deux journées d’études organisées par Perrine Galand et Anne-Pascale Pouey-Mounou. La seconde journée aura lieu à l’Université de Lille III, le 15 mars 2013

– 29 novembre-1er décembre 2012, Université de Paris IV, Doctrines et théories de l’art. Responsables : Laurence Boulègue, Pierre Caye, Francesco Furlan et Florence Malhomme

7-9 décembre, EPHE, colloque « Ecriture et hérésie à travers l’histoire », organisé par F. Rouillé avec la coll. de P. Galand

15 mars 2013, Université de Lille III, « La Muse s’amuse : figures insolites de la Muse à la Renaissance », Seconde des deux journées d’études organisées par Perrine Galand et Anne-Pascale Pouey-Mounou.

– 22-23 mars 2013, BnF-Université de Paris 7- SFDES, L’année 1570, Colloque organisé par Jean Vignes, Isabelle His et Hugues Daussy

– 4-6 avril 2013, San Diego, California, Renaissance Society of America, annual meeting

– 22-25 mai 2013, Rome, École française de Rome et Biblioteca Nazionale Centrale di Roma, Colloque international « Marc Antoine Muret. Un humaniste français en Italie », organisé par Christine de Buzon, Philip Ford, Jean-Eudes Girot, Raphaële Mouren, Laurence Pradelle et Marina Venier

– Printemps 2013, Villa Vigoni, Atelier néo-latin II. Horatius lyricus. Responsable : Nathalie Dauvois

IIIe congrès de la SEMEN-L (Bordeaux, 11-13 octobre 2012) : appel à communication

La Société d’Études Médio- et Néo-Latines (SEMEN-L) organise les jeudi 11, vendredi 12 et samedi 13 octobre 2012, à l’université Michel de Montaigne Bordeaux 3, son sixième Congrès sur le thème : « Rhétorique, stylistique et poétique : entre théorie et pratique ».

 

Notre réflexion pourrait s’articuler, entre autres, autour des domaines suivants.

• La réception de la rhétorique antique

Du Moyen Âge au XVIe siècle, l’héritage de la rhétorique antique, d’abord essentiellement latin, cicéronien et horatien, mais tributaire d’une évidente dette envers la culture grecque, connaît une importante transformation avec la redécouverte progressive des rhétoriciens antiques, d’Aristote aux rhéteurs de la période impériale. Or, il paraît important d’analyser l’héritage, les mutations et le devenir de la rhétorique antique, afin de mettre en évidence les différents points théoriques dont la compréhension est pour nous problématique et dont nous ne percevons parfois pas l’intérêt. La tradition rhétorique est-elle en l’occurrence un boulet qu’il faut traîner ou un ferment dynamique ?

• Les artes

Entre la fin des XIe et XIVe siècles, apparaissent en Europe des traités spécialisés qui s’intéressent à l’enseignement de la grammatica et ont pour objet l’art d’écrire : les artes dictandi qui s’attachent à l’art d’écrire en prose (des lettres, mais aussi tout document juridique ou administratif) ou de composer un discours ; les artes poeticae, qui concernent la composition d’ouvrages fictionnels, versifiés ou non ; les artes praedicandi enfin, qui étudient l’art d’écrire et de prononcer un sermon, et dont le contenu évolue considérablement avec le temps. La longévité exceptionnelle de certains de ces traités médiévaux, jusqu’au XVIe siècle, attire l’attention : il s’agira de mettre à jour leur intérêt, autant que leur originalité intrinsèques.

• Études de cas : l’art et la manière

La rhétorique, au sens le plus large, est une ressource et un courant qui alimente nécessairement l’écriture poétique, que celle-ci soit ou non fictionnelle : elle influence la formation des écrivains, qu’ils se déterminent par rapport à cet héritage ou en opposition avec lui. Des études textuelles précises seront ainsi les bienvenues, afin de mettre en lumière des applications concrètes de la théorie rhétorique.

 

Chaque communication durera entre 20 et 25 minutes. La publication d’un ouvrage sera faite à partir de ces communications dans la revue Eidôlon (Presses universitaires de Bordeaux). Les chercheurs intéressés sont invités à proposer avant le 15 avril 2012 un titre et une douzaine de lignes de présentation (environ 1000 caractères) à Anne Bouscharain ou à Danièle James-Raoul :

Contacts :

Anne Bouscharain anne.bouscharain@gmail.com

Danièle James-Raoul daniele.james-raoul@wanadoo.fr

Colloques 2005

Liste des colloques organisés à propos du latin médiéval et du néo-latin en 2005.

– 19 Février 2005, Paris : La lettre comme miroir de l’amitié dans l’Antiquité, au Moyen-Âge et à la Renaissance, Journée d’études n°1 organisée par l’Equipe « Traditions romaines », resp. P. Galandhallyn et C. Lévy.

– 12 mars 2005, Paris : Le fondement de la « société des amis » dans l’Antiquité et à la Renaissance : savoir et plaisir, Journée d’études n°2 organisée par l’Equipe « Traditions romaines », resp. P. Galand-hallyn et C. Lévy.

– 25-26 mars 2005, Paris : Certitude et incertitude à la Renaissance, Sorbonne, org. Marie-Thérèse Jones-Davies, appel à communication / rens. : M.-Th. Jones-Davies.

– 6-7 avril 2005, Florence : I conti con Petrarca, voir le site: http://www.unifi.it/eventi/franciscus/index.htm .

– 12-14 avril 2005, Clermont-Ferrand : Les mythes classiques dans la littérature néo-latine, colloque de la S.F.E.N.L., en hommage à M. et Mme Guy et Geneviève Demerson. Il reste possible de proposer un sujet touchant au thème de ses propres recherches. Titres des communications à envoyer avant le 1er décembre 2004.

– 15 avril 2005 (9h-17h30), Paris : Journée d’études Éléments naturels, paysage et subjectivité dans le monde hispanique de la première modernité, École Nationale des Chartes (Grande Salle), org. Dominique de Courcelles, Centre National de la Recherche Scientifique (UMR 5037- CERPHI)- Collège International de Philosophie.

– 14 mai 2005, Paris : L’amicitia dans l’Antiquité et à la Renaissance: codes sociaux et politiques, Journée d’études n°3 organisée par l’Equipe « Traditions romaines », resp. P. Galand-hallyn et C. Lévy.

– 20-21 mai 2005, Tours : Humanisme et évangélisme entre Réforme et Contre- Réforme: Antonio Brucioli, CESR, org. E. Boillet, Rens. : http://www.cesr.univ-tours.fr .

– 26-28 mai 2005, Tours : Vie philosophique et Vies de philosophes, CESR, org. B. Clément et C. Trottmann, Rens. : http://www.cesr.univ-tours.fr .

– 10-11 juin 2005, Saluzzo (I) : Griselda : un mito per l’Europa, Castello della Manta.

– 11 juin 2005, Paris : Théories humanistes sur le lyrisme : lectures françaises et latines d’Horace à la Renaissance, Journée d’études n°4, organisée par le Centre Politien, l’équipe « Traditions romaines » de Paris IV et l’équipe « Traditions Antiques et Modernités » (TAM) de Paris VII.

– 18 juin 2005, Paris : Autour du De amicitia de Cicéron, journée d’études n°5, organisée par le Centre Pierre Boyancé (Equipe « Traditions romaines » de Paris IV).

– 24-25 juin 2005, Lyon : La dénomination des savoirs en français préclassique (1500-1650), CELL ISH, U. de Lyon II, resp. Marthe Paquant, Volker Mecking, Philippe Selosse.

– 26-29 juin 2005, Genga (I) : XVIe Seminario di alta cultura La Georgica dall’antichità all’umanesimo.

– 27 juin-1er juillet 2005, Tours : XLVIIIe Colloque International d’Etudes Humanistes Les machines à la Renaissance, CESR, org. P. Brioist.

– 29 juin-2 juillet 2005, Fabriano-Sassoferrato (I), XXVIe Congresso internazionale di studi umanistici (con la celebrazione del centenario di Gentile da Fabriano), rens. : J.-L. Charlet.

– 18-21 juillet 2005, Chianciano-Pienza : colloque sur Enea Silvio Piccolomini, Pio II umanista europeo, Istituto di Studi Umanistici Francesco Petrarca. Org. Luisa Secchi Tarugi.
– 31 août – 4 septembre 2005, Debrecen (Hongrie) : Hercules neolatinus : compita culturarum humanitatumque in mundo neolatino.

– 8, 9 et 10 Septembre 2005 (dates prévues), Lyon : L’énigmatique à la Renaissance: formes, significations, esthétique, colloque organisé par l’Association Renaissance, Humanisme, Réforme (RHR). Esquisse de la problématique : Il paraît souhaitable d’ouvrir un champ d’investigations très large, et surtout étranger aux démarcations traditionnelles entre disciplines (car la question a trait à la philosophie et à l’exégèse aussi bien qu’à la littérature et aux arts, aux savoirs et langages ésotériques aussi bien qu’aux jeux de société) mais selon une visée assez précise pour que l’objet ne devienne pas protéiforme et finalement trop flou pour donner lieu à une véritable recherche.
A cette fin, il est proposé que, par convention, le colloque ait trait non pas à ce qui est énigmatique (car tout, ou presque, peut être considéré comme tel), mais à ce qui est donné pour énigmatique dans les oeuvres littéraires, picturales, plastiques, philosophiques, théologiques ou scientifiques de la Renaissance, et dans les pratiques culturelles qui s’y rapportent. A quoi pourrait être ajouté ce qui a été notoirement tenu pour tel par le public de la même époque (du milieu du XVe au début du XVIIe siècle) dans les oeuvres qui lui étaient alors présentées.

– 9-11 septembre 2005, Cambridge : Annual Symposium of the Cambridge Society for Neo-Latin Studies: Pastoral in the novel, theatre, commentary, pedagogy, poetry, translation, court entertainments, Clare College, org. The Cambridge Society for Neo-Latin Studies.

– 23 septembre 2005, Tours : Voir et expliquer les machines à la Renaissance, CESR, org. J. Vons, Rens.: http://www.cesr.univ-tours.fr .

– 21-23 septembre 2005, Metz : Le registre sapiential, colloque international, Université de Metz., org. Jean-François P. Bonnot, Sylvie Freyermuth.

– 18 oct. 2005, Verona (Palazzo Giuliari) : Journée François Secret – Les Muses secrètes: Kabbale, alchimie et littérature à la Renaissance, organisé par le Gruppo di Studio sul Cinquecento Francese.

– 3-4 nov. 2005, Paris (Paris XII et ENS-Ulm) : deux journées d’études sur La figure de Médée de l’antiquité à l’époque moderne, organisées par C. Guérin, B. Cuny et A. Berra. La première journée aura lieu le 3 novembre à Paris XII, la seconde le 4 à l’ENS, rue d’Ulm. Rens.: http://www.eleves.ens.fr/home/chguerin/medee.html .

– 17-18 nov. 2005, Nantes (salle du Pôle étudiant de la Faculté des Lettres): Colloque La pensée scientifique de Gerolamo Cardano, Université de Nantes (Equipe « Modernité de l’Antique » ; UFR Lettres et langages ; Département de Lettres anciennes), organisé par Jean-Yves Boriaud.

– 30 novembre-3 décembre 2005, Gand : Quintilien, antique et moderne, Université de Gand, org. E. Bury, P. Galand-Hallyn, F. Goyet, F. Hallyn, C. Lévy.

– 24-26 novembre 2005, Nancy : Mémoire-Récit-Histoire dans l’Europe des XVIe et XVIIe siècles, Université de Nancy 2 (Equipe Romania), org. M. Miranda et M. Sol Ortola.

– 2-3 décembre 2005, Paris : Colloque Entre Moyen Âge et Renaissance, Regards croisés sur Jules César, Université de Paris VII (Equipe Traditions Antiques et Modernités), org. B. Méniel et B. Ribémont.